Les consultations menées par Romain Renoux et Amandine Vaslet se poursuivent dans toute la Caraïbe.Après Saint-Barthélemy, la Guadeloupe, les six îles néerlandaises et Anguilla, l’équipe en charge du projet BEST a travaillé avec les acteurs locaux de Martinique, des Îles Vierges Britanniques et de Saint-Martin. L’objectif est de rencontrer le plus large panel possible d’actifs impliqués dans la protection de l’environnement naturel, de leur présenter le projet BEST et de recueillir leurs réactions et leurs projets en terme de conservation de la biodiversité. Si les enjeux peuvent être différents, la méthodologie reste la même. Il s’agit de définir des priorités d’action, en considérant notamment les espèces menacées, endémiques et les écosystèmes. Une cartographie permet de visualiser clairement les zones clés terrestres et marines pour la biodiversité, reflétant un rôle écologique majeur. À Saint-Martin, des enjeux transfrontaliers avec Sint Maarten ont pu être soulignés.
En Martinique : le Parc naturel régional et les deux réserves naturelles nationales, la DEAL, le Conseil régional, l’Agence des aires marines protégées, l’association Martinique Entomologie et l’association OcéAnvironnement. À Tortola (BVI) : le National Trust des BVI, le ministère des ressources naturelles et de l’environnement, le Conservation and Fisheries Department, l’Agriculture Department, ainsi que plusieurs associations et experts locaux. Une réunion a également eu lieu avec le gouverneur des BVI, afin de présenter le projet BEST. À Saint-Martin : la Collectivité de Saint- Martin, la Préfecture, la Réserve naturelle, le Conservatoire du littoral, les associations «Les fruits de mer» et «Mon école, ma baleine».