Le 11 septembre
A l’occasion du suivi scientifique des oiseaux autour des étangs, l’équipe a repéré un grand nombre de munitions de toutes sortes, jetées dans l’étang Rouge, à faible profondeur. Quelques semaines plus tard, le 31 octobre, c’est un pistolet 357 Magnum et un détonateur anti-personnel de mines en état de marche qui ont été découverts par les gardes de la Réserve, toujours dans l’étang Rouge. Ces armes ont été repêchées avec l’assistance de la brigade de recherches de la gendarmerie et un procès-verbal de destruction a eu lieu
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Le 18 septembre
à la suite de la publication dans le FaxInfo d’un article informant qu’un brochet de mer de 25 kilos avait été pêché dans l’étang aux Poissons, les gardes ont retrouvé le pêcheur et ont dressé un procès-verbal à son encontre.
Le 21 septembre
Alors que le «Beach Clean Up» du Radisson battait son plein, les gardes ont repéré deux chasseurs sous-marins. Convoqués, les deux hommes se sont présentés au bureau de la Réserve. Les poissons et leur matériel de pêche ont été confisqués.
Le 7 Octobre
Grâce à l’appel téléphonique d’un témoin, les gardes ont interpellé deux pêcheurs à la ligne sur la plage de Coralita. Les poissons et les cannes à pêche ont été confisqués.
Le 18 octobre
La gendarmerie a informé la Réserve naturelle que deux carapaces et de la viande de tortue avaient été découvertes chez un particulier, à l’occasion d’une perquisition. La saisie par les gardes de ces carapaces et de cette viande a donné lieu à un procès-verbal de destruction.
La gendarmerie a informé la Réserve naturelle que deux carapaces et de la viande de tortue avaient été découvertes chez un particulier, à l’occasion d’une perquisition. La saisie par les gardes de ces carapaces et de cette viande a donné lieu à un procès-verbal de destruction.
Le 14 novembre
254 lambis vivants ont pu être remis à l’eau non loin de Petite Clé et de Pinel, grâce au témoignage d’un riverain. Le pêcheur a été jugé par le tribunal correctionnel le 5 décembre 2013 et condamné à 100 jours-amende d’un montant de 20 euros. S’il ne paie pas ces amendes, le pêcheur sera emprisonné pendant 100 jours. Il avait pêché ces 254 lambis, ainsi qu’un casque et deux langoustes, autour des îlets de Pinel et de Petite Clé, en plein coeur de la Réserve. Les gardes l’ont pisté pendant quelques jours avant de pouvoir l’interpeller en flagrant délit, avec l’assistance de la brigade nautique de la gendarmerie. Au vu de l’importance de son activité illégale, les gardes estiment à environ 2000 le nombre de lambis pêchés par cet homme cette semaine-là.